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dimanche 19 mai 2013

Antidépresseur Valdoxan - risque pour le foie


Controverse sur les antidépresseurs ?

On lit dans un article récent que l'antidépresseur Valdoxan présenterait un risque pour le foie. On voit apparaître ponctuellement des études et des mises en gardes concernant les psychotropes. Il n'y a pas si longtemps on parlait des benzodiazépines.

Voici quelques uns de ces articles mettant en avant des effets indésirables de ces produits :

- Augmentation du risque suicidaire
  • "Aux Etats-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne où les autorités sanitaires ont formulé de nouvelles recommandations aux médecins, visant à éviter l’usage abusif des antidépresseurs et les prescriptions trop systématiques, leur utilisation est remise en cause pour les enfants et les adolescents, après que plusieurs études ont prouvé qu’elles entraînent chez eux une augmentation du risque suicidaire. 
  • Mêmes inquiétudes en France où le ministère de la santé interdit  la prescription d’antidépresseurs chez les moins de 18 ans.
  • Des chercheurs américains ont relevé l’an dernier, que les femmes souffrant de dépression et utilisant des antidépresseurs durant deux ans, ont 39% plus de risque d’avoir une hypertension, des maladies du cœur ou un diabète. "
  • http://www.trtfrancais.com/fr/informations/detail/vieenvironnement/85/les-antidepresseurs-sont-ils-dangereux-/5056
- Un autre article plus récent indique de tel antidépresseur présenterait des dangers pour le foie :
- Risques cardiaques :
  • "Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.
  • L'étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.
  • Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d'un traitement."
  • http://fr.canoe.ca/sante/archives/2012/10/20121019-145557.html
Emprunteriez-vous un pont qui a une chance sur 10 000 de s'écrouler ? Peut-être si vous aviez tous les diables de l'enfer à vos trousses le feriez-vous. 

Tout dépend du facteur bénéfice/risque. Et c'est là que la controverse s'anime.

Des études montrent que les bénéfices des antidépresseurs sont sujets à caution.

Un très bon article paru en 2012 et très documenté, commentait la remise en question des antidépresseurs.

Une autre article intéressant quoique plus ancien montrant que la controverse ne date pas d'hier.

Que penser alors ?

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme Internationale (CCHR) à publié un livret d'information a cet effet qui est une compilation documentée des faits et des effets concernant les antidépresseurs. Comme le rappelle le livret dès la première page il s'agit d'information et non pas d'avis ou de recommandation médicale.



Haro sur le baudet - le DSM-5 à l'index !



Les temps sont agités pour la psychiatrie. 

Voir l'article du monde reproduit sur le site du CRPA, une association d'usagers qui s'insurge contre les mauvais traitements qui leur sont infligé suite au problème lié au diagnostiques en psychiatrie.

http://psychiatrie.crpa.asso.fr/2013-05-13-art-Un-article-du-Monde-a-propos-de-la-publication-du-DSM-5-Psychiatrie-DSM-5-le-manuel-qui-rend-fou

Un mouvement populaire commence à s'insurger contre la trop grande liberté que prennent les groupes d'intérêt psychiatriques avec l'étiquetage de nos comportements et la propension à cataloguer chaque comportement comme une soi disant maladie mentale.

Olivier Labouret dénonçait il y a peu l'utilisation de la psychiatrie comme outil de contrôle dans son ouvrage "Le nouvel ordre psychiatrique". 

Tomas Szasz également dans l'ouvrage traduit récemment en français "Pharmacratie"

La profession psychiatrique essaie de transformer ce qui n'est qu'un catalogue hétéroclite de comportements et de symptômes en de véritables maladies, dans le seul but de vendre des "médicaments" pour les traiter. Ceci au seul profit des labos qui fabriquent en fait uniquement des palliatifs ou des substances qui masquent les symptômes mais ne guérissent rien puisque paradoxalement la profession psychiatrique reconnait qu'on ne peut pas guérir la maladie mentale.

Les psychothérapeutes s'insurgent, les patients s'insurgent, il serait temps de les écouter.

En fait on verra d'ailleurs qu'il ne s'agit pas vraiment de maladies comme le reconnaissent également les psychiatres ouvertement.


Le Directeur de l'Institut National de la Santé Mentale aux Etats-Unis avoue que ces diagnostiques n'ont aucun fondement "médical", c'est à dire qu'il n'y a pas à l'heure actuelle de tests biologiques fiables pour pouvoir parler de maladies. Il déclare sur son blog en parlant du DSM . (Voir site de la NIMH)

" C'est au mieux un dictionnaire, qui crée un ensemble d'étiquettes et qui les définit et sa faiblesse est son manque de validité". Il déclare également que la NIMH va orienter ses recherches à l'écart du DSM car "les diagnostics du DSM sont basés sur un consensus par rapport à un ensemble de symptômes cliniques et pas sur des mesures de laboratoire objectives"

La CCDH est heureuse de cet aveux qui ne fait que confirmer ce que l'association dénonçait depuis des dizaines d'années dans ses publications. 

Voir le documentaire video récent sur le DSM : "DSM , le château de carte de la psychiatrie"

ou bien consulter la brochure :
http://fr.cchr.org/cchr-reports/inventing-disorders/introduction.html

Ce qui ne veut pas dire que la NIMH a vu la lumière et il faudra rester très vigilant sur les prochaines trouvailles, notamment les fameuses recherches sur le cerveau et l'implantation de puces électroniques qui risque d'être le prochain "remède miracle".

Il faut être ferme et réclamer des preuves scientifiques et objectives car avec les milliards de dollars de financement en jeu la profession et les labos ont de quoi être inquiets pour leur avenir et les risques se voir présenter des théories fantaisistes enrobées de salmigondis pseudo scientifique sont grands. C'est ce qui s'est produit dans les 100 dernières années. On peut trouver des informations concernant le marketing des maladies mentales dans les documentaires suivants : 

"le marketing de la folie"
http://www.youtube.com/watch?v=jaWUZmbjfsQ&feature=share&list=PLJgSFasndJ-Nfwjej_iy3WDmmZcEMNd2P 
et "profits macabres"
http://www.youtube.com/watch?v=pnM-VGnGJMg&feature=share&list=PLJgSFasndJ-NQYymwMamldBcaaGOzA2If

Depuis les années  la psychiatrie tente d'entrer dans le domaine médical avec des expériences sur cobayes humains toutes aussi ratées et aussi horribles les unes que les autres : on parle là de la lobotomie préfrontale, des chocs à l'insuline, des chocs au Métrazol, des cures de sommeil profond, des électrochocs (electroconvulsivo thérapie), et dernièrement de la camisole chimique et de la "pilule du bonheur" comme si l'on pouvait réduire les émotions à des simples échanges chimiques dans le cerveau. 

Voir le film "Psychiatrie, la vérité sur ses abus, chapitres 1, 2

http://www.youtube.com/watch?v=khNqKAIdELM&feature=share&list=PLJgSFasndJ-Mz_DmcxkDgSHC-kzZBXum9

Le sujet des "soins" sans consentement est également un sujet de discorde tant le prétendu soin s'apparente plutôt à une punition et viole le consentement éclairé du patient et l'éthique médicale. Si l'on présentait les effets à long terme des substances que l'on oblige certains patients à ingérer ou à subir sous forme d'injections forcées, la grande majorité refuseraient le traitement.

Le difficulté n'est pas tant de prouver que la psychiatrie est inefficace voire dangereuse pour la santé, mais de faire réaliser l'ampleur des dégâts à une population qui a subit une désinformation et une propagande sur ce sujet, d'une ampleur à la mesure des profits générés par l'industrie pharmaceutique qui la soutient.

L'excellent documentaire d'ARTE "Maladies à vendre" en témoigne et a contribué également à amener le problème à la conscience du public.

http://www.youtube.com/watch?v=eJvL_IEVQVA&feature=share&list=PLJgSFasndJ-OPkFeZwdz0rzOlvHGd5dv6

Continuons à nous battre pour la vérité et pour un véritable respect des droits de l'homme dans le domaine de la santé mentale.

jeudi 9 mai 2013

L'enfance est-elle une maladie mentale ?




A ce sujet une video sympa tournée avec des enfants qui  martèlent leur message : "l'enfance n'est pas une maladie mentale", en référence aux diagnostiques souvent très subjectifs du "trouble de l'hyperactivité" qui a connu une expansion foudroyante aux Etats-Unis du fait de la subjectivité même des tests de dépistage et qui a conduit de plus en plus d'enfants diagnostiqués à tort à prendre des médicaments dangereux pour leur santé. 



Ce sujet fait l'objet d'un film documentaire : "Erreur fatale" . 
Ce film relate le parcours d'une mère dont l'enfant est mort du fait de mauvais diagnostique et à cause du traitement psychiatrique. De nombreux parents de sont unis aux Etats-Unis pour porter plainte contre 3 grands Labos pharmaceutiques et ont obtenu des dommages et intérêts importants.

Pour tout témoignage http://www.ccdh.fr/forms/Contactez-CCDH_f1.html


samedi 4 mai 2013

La psychiatrie a perdu son âme ?


Nouvelle manifestation d'information et de revendication de la CCDH Auvergne ce mois-ci à Clermont-Ferrand.


"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" déclarait Rabelais. Il semblerait que la psychiatrie a jeté l'âme aux orties depuis pas mal de temps et sa conscience avec.

La psychiatrie comportementale ( médecine de l'âme d'après son étymologie a totalement renié ses origines en prenant, sous couvert d'aide, la direction de la médicalisation des émotions avec le cortège d'horreurs et d'abus contre les droits de l'homme que cela entraîne (internements abusifs, obligation d'ingérer des substances toxiques, traitements brutaux, tout ceci largement documenté). 

La CCDH, créée en 1974 en France et 1969 aux Etats-Unis (CCHR, Citizen Commission on Human Rights) n'est pas la seule association à s'insurger contre les traitements dégradants infligés voire imposés aux patients, souvent à leur insu, souvent sans leur consentement éclairé.  Son but est de faire restaurer l'application des droits humains en santé mentale, entre autre, par des actions d'information et en amenant le public à ouvrir les yeux sur le modèle de société à la Big Brother qu'on essaie de leur imposer par le biais de théories non fondées.

Le plan global des fondateurs de l'association mondiale de la santé mentale initié en 1940 par le psychiatre militaire J.R. Rees, puis instauré en 1945 par le major également psychiatre, J Brock Chishlom est en marche. "la réinterprétation et finalement l'éradication du concept de bien et de mal "comme l'un des buts principaux de la psychiatrie. Il a affirmé que pour empêcher une future guerre, les psychiatres doivent éliminer "la moralité". 

Voir Video chapitre 13 : l'influence cachée de la psychiatrie
 http://www.youtube.com/watch?v=wfHfAq8aMdQ&feature=share&list=PLJgSFasndJ-Mz_DmcxkDgSHC-kzZBXum9

Si l'on enlève ce qui différencie l'homme de l'animal, ce qui l'élève, c'est à dire sa conscience et sa moralité, son sens de l'éthique, son sens de l'esthétique et qu'on attribue ses actions et ses émotions à des simples relations chimiques dans le cerveau, cela a contribue un petit peu plus à le ravaler au rang d'animal et l'on finit par obtenir un animal, c'est à dire quelqu'un qui réagit par excitation réflexe. On peut abaisser l'homme au rang d'animal à coup de brimades et de punition et de drogues ! C'est en étudiant des personnes très perturbées ou dérangées ou en expérimentant sur des animaux que ces psychiatres comportementalistes des origines comme Pavlov ou Skinner en sont venus à généraliser leur comportement à toute la population humaine. L'Homme ne devient rien de plus qu'un morceau de viande sans conscience, qui peut être utilisé indifféremment comme un objet, de la chair à canon ou une marionnette par ceux qui tirent les ficelles.

Cela manque pour le moins de rigueur scientifique.

Voir la page, "l'homme un animal" : http://psychiatriedemasquee.blogspot.fr/p/lhomme-un-animal.html

Le CRPA (Cercle de Reflexion et de Proposition d'Action sur la psychiatrie), récemment créé est particulièrement remonté sur les problèmes d'internement abusif et l'obligation de soin. http://crpa.asso.fr/

D'autres associations se mobilisent pour faire entendre la voix de la raison. Des supports d'information sont disponibles sur les site de la Commission des Citoyens pour les droits de l'Homme Internationale et France

http://fr.cchr.org/videos.html

http://www.ccdh.fr/Le-kit-pedagogique-i-Le-marketing-de-la-folie-i_a237.html

vendredi 3 mai 2013

Histoire de la Psychiatrie


Découvrez au fil de la chronologie, l'histoire de la psychiatrie à travers les chapitres vidéos du DVD Psychiatrie la vérité sur ses abus.

cliquez sur ce lien :

Pour visionner l'introduction :

jeudi 25 avril 2013

Troubles mentaux - diagnostiques bidons ?


Trouble des mathématiques. Cela ressemble à une plaisanterie et pourtant ....


Le DSM, Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux, connu sous le nom de « la bible des psychiatres », répertorie toutes les maladies mentales. La première édition du DSM a été publiée en 1952 et comptait 60 troubles. La version actuelle du livre en contient plus de 400. Le DSM 5 devrait être publié très prochainement, avec un nombre encore plus important de maladies répertoriées. 
  
Pourquoi assistons-nous à une croissance toujours plus importante de maladies mentales ? Nous pouvons observer que ces « troubles » représentent en fait des comportements et émotions que pourraient vivre n'importe quelle personne. Aujourd'hui même la timidité, les difficultés en mathématiques, l'utilisation d'internet ou encore les caprices d'enfants peuvent être considérés comme des troubles mentaux, et sont répertoriés dans le DSM. 

Pour faire la lumière sur ce qui pourrait bien être la plus grande tromperie de l'histoire, voici un documentaire primé, réalisé avec l'aide de spécialistes du domaine de la médecine, de la psychiatrie, de la neurologie, des journalistes, etc.



Pour obtenir plus d'information sur les diagnostiques psychatrique lisez la brochure :


jeudi 18 avril 2013

Antidépresseurs - mises en garde



Ce livret publié par CCHR International (Citizen Commission on Human Rights) donne des informations importantes au sujet des antidépresseurs. Ces informations sont fournies en tant que service d'intérêt général.

Les médecins sont tenus lorsqu'ils prescrivent des traitements, d'informer le patient qui à le droit de pouvoir faire un choix libre et éclairé.

Voici ce que dit la Loi sur le consentement éclairé du patient :
(plus de détails sur le site de l'ordre des médecins) http://www.conseil-national.medecin.fr/article/article-36-consentement-du-malade-260#article

Article 36 (article R.4127-36 du code de la santé publique)
Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
Si le malade est hors d'état d'exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que ses proches aient été prévenus et informés, sauf urgence ou impossibilité.
Les obligations du médecin à l'égard du patient lorsque celui-ci est un mineur ou un majeur protégé sont définies à l'
 article 42 .

L’article L.1111-4 du code de la santé publique précise à cet égard 
« Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d'interrompre tout traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d'accepter les soins indispensables. Il peut faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».

On parle de consentement "libre" ce qu'on peut interpréter comme pas de pression envers la personne qui est déjà un état de faiblesse ou de détresse du fait du problème de santé ou psychologique qu'elle subit. 

On parle aussi de consentement "éclairé", ce qui implique que la personne doit pouvoir réellement comprendre en termes simples quels vont être les bénéfices du traitement comparés aux éventuels effets nocifs. Elle doit pouvoir poser toutes les questions et avoir accès aux documents nécessaires.

Ce livret permet d'avoir accès à de telles informations.

D'autres livrets sont disponibles sur :
Les psychostimulants
Les anxiolytiques
Les Psychotropes
Les stabilisateurs d'humeur
Les anti-psychotiques


INFORMATION  IMPORTANTE A L'INTENTION  DES  LECTEURS 
Ce rapport donne une vue d'ensemble des effets secondaires d'antidépresseurs courants. Il est important de connaître ces informations. 
Les tribunaux ont déterminé que si un médecin veut obtenir un consentement éclairé de la part des patients à qui 
il prescrit des psychotropes (substances qui agissent sur le psychisme), il doit« les informer [ ... ] des effets secondaires et des avantages possibles, de la manière de traiter ces effets secondaires, et des risques d'autres maladies[. ... ]» et il doit également les« informer des traitements alternatifs ».1  Pourtant, les psychiatres ignorent très souvent ces recommandations. 
Si vous prenez des psychotropes, n'arrêtez pas de les prendre après avoir lu ces informations. Vous pourriez souffrir de symptômes sérieux de sevrage. 
Avant d'arrêter la prise de psychotropes, vous devriez contacter un médecin spécialiste ou un généraliste compétent pour qu'il puisse vous aider et vous conseiller. C'est très important. 
Dans cette publication, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme (CCDH) ne fournit pas 
d'avis médical ni de recommandations, mais donne des informations pour que chacun puisse se faire sa propre opinion. 
Pour de plus amples renseignements sur les médicaments psychiatriques et leurs effets secondaires,  veuillez consulter le site français http://ansm.sante.fr/, le site canadien français www.sc.hc.gc.ca ou le site américain 
Guide de référence médical http://www.pdrhealth.com. 

1.     Faith J. Myers contre l'Institut psychiatrique d'Alaska, 
Cour suprême d'Alaska, No S-11021, Cour supérieure 
n' 3AN-03-00277 PR, Avis, n'6021, 30 juin 2006. 


ccdh.auvergne@gmail.com


samedi 30 mars 2013

Violence sur ordonnance

Manifestation à Clermont-Ferrand
Les Bénévoles de la CCDH ont manifesté samedi 30 mars à Clermont-Ferrand et ont distribué 2200 prospectus d'information sur les abus, maltraitance et violation des droits de l'homme en psychiatrie et dénoncent entre autre le fait qu'un grand nombre de crimes et de suicides sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues psychiatriques. 

Alors que sort le nouveau film de Steven Soderbergh, effets secondaires, on peut en effet     remettre en question la tendance dans notre société à vouloir règler les problèmes d'ordre psychique ou émotionnels par une pillule. 


La pillule en question n'est pas une cure en soi et ne guérit pas la cause du problème, mais ne fait qu'atténuer une douleur, comme le fait l'aspirine avec les maux de tête. Cela ne fait que masquer le symptôme mais ne guérit pas malgré ce que prétendent certains la cause véritable ayant provoqué ces symptômes. 

Non seulement cela ne guérit pas, mais en plus peut aggraver le symptôme voire provoquer ce que l'on cherchait à éviter et d'autres problèmes plus graves.

Les antidépresseurs seraient même à la source de la recrudescence de meurtres violents et de tueries dans des écoles, les jeunes étant de plus en plus soumis à ces traitements notamment aux Etats-Unis.

Jean-Marc Dupuy de santé nature innovation à publié la liste de  tous les incidents graves liés à ces substances qui font de plus en plus l'objet d'avertissements de la part des Agences de sécurité du médicament de divers pays (Etats-Unis, Danemark, Suède, Suisse, etc. )
"Le 22 mars 2004, l'autorité de santé américaine (FDA) a publié à nouveau une mise en garde au sujet des effets secondaires de ces médicaments, citant « anxiété, agitation, attaques de panique, insomnie, irritabilité, hostilité, impulsivité, akathisie (agitation sévère), hypomanie, et manie chez l'adulte et les enfants traités aux antidépresseurs pour des troubles dépressifs majeurs. (2)

Le 14 septembre 2004, la FDA a fait imposer une mise en garde sur les antidépresseurs et le risque de suicide chez les moins de 18 ans. Cette mise en garde a été étendue aux personnes de moins de 25 ans le 13 décembre 2006."

La CCDH à publié un documentaire, violence sur ordonnance comportant les témoignages, de médecins généralistes, de psychiatres, de défenseurs de droits de l'homme, de neurologue,  d'ancien salariés de marketing en entreprise pharmaceutique, etc.

Contactez-nous à ccdh.auvergne@gmail.com


Fusillades dans les écoles - médicaments psychiatriques en cause ?


Adam Lanza, l'auteur de la fusillade dans une école primaire de Newtown dans le Connecticut aurait été sous l'emprise de médicaments psychiatriques comme de nombreux autres jeunes avant lui auteurs de fusillades similaires.

Une association de défense des parents demande à ce que les analyses médicales concernant Adam Lanza soient rendues publiques et une pétition circule en ville à cet effet.

Mme Matthews présidente de l'association de parents "Ablechild" qui a déjà récolté plusieurs centaines de signatures explique dans la pétition que de nombreux faits avérés montrent qu'au moins 31 fusillades dans des écoles ou des actes de violence dans des écoles ont été commis par des jeunes sous médication psychiatrique ou souffrant du symptôme de manque lié au sevrage des ces produits, avec pour résultat 162 blessés et 72 décès.

La pétition indique en outre que 22 avertissements internationaux ont été publiés concernant ces médicaments psychiatriques, comme pouvant causer des comportements violents, des manies, de la psychose et des idées d'homicide. De plus, entre 2004 et 2011 près de 13000 rapports concernant les violents effets secondaires  des médicaments psychiatriques, y compris des homicides, des comportements maniaques et agressifs ont été reçus par le système d'alerte de la Food and drugs administration (FDA, agence chargée de la sécurité des aliments aux Etats-Unis) 

Mme Matthews et Mme Sabato, ont apprécié le soutien des citoyens. "La grande majorité des gens nous soutiennent dans notre effort. Il se sentent réellement concernés, ils veulent savoir et ils sentent qu'ils ont le droit de savoir si Lanza prenait effectivement ces médicaments."
Extrait de Alex Jones Radiow Show (www.infowar.com) 16 mars 2013
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme International (CCHR) dénonce depuis plusieurs années les effets violents causés par ces psychotropes et a publié plusieurs documentaires à cet effet. à consulter en ligne 
ou à consulter et à télécharger ici :



Contactez-nous à ccdh.auvergne@gmail.com

jeudi 28 mars 2013

Religions villipendées

A l'heure ou l'on débat de nouveau de la laïcité dans notre pays on peut se poser des questions sur l'irrationalité déployée par certains. Parfois on croît rêver ou cauchemarder plutôt tant est utilisée l'argument de la peur et de l'amalgame en matière de religion. 

Heureusement on entend encore certaines voix de la raison comme ce matin sur France Info mais elles semblent peu nombreuses et peu convaincantes :

L'idée d'une loi ne fait pas l'unanimité, à droite comme à gauche : attention au risque de stigmatiser les musulmans, comme le souligne la députée UMP Valérie Pécresse : "Il ne sera pas question de stigmatiser quelqu'un sur ses croyances ou ses non-croyances. On est dans une république laïque, on n'a pas le droite de demander à quelqu'un ce qu'il croit". Le socialiste Olivier Faure ajoute qu'il faut veiller à ne pas doublement punir les femmes qui portent le voile :"Il faut faire attention à ne pas donner le sentiment que toutes les femmes voilées sont des agents de l'islamisme et ne pas tomber dans une paranoïa qui reverrait ces femmes vers un cercle de plus étroit, communautariste et qui finalement les reverrait vers ce qu'il y a de pire". France Info

Il en faudra un peu plus pour revenir à la raison et surtout comprendre la raison profonde     
et les intérêts sous-jacents.

Les religions ont souvent été utilisées par des personnes défendant leurs propres intérêts comme prétexte aux pires atrocités.

Il est intéressant dans ce contexte de savoir quand a démarré ce courant anti religieux qui n'est pas uniquement propre à la France, mais qui y a trouvé manifestement un terrain favorable. Consultez cette brochure de 36 pages sur le site de la commission des citoyens pour les droits de l'homme ainsi que le documentaire video qui s'y rapporte.




INTRODUCTION« Les concepts de bonne ou demauvaise conduite, de Bien ou de Mal,et de responsabilité personnelleont tellement été attaqués au coursde ces dernières décennies que les gensn’ont aujourd’hui que peu, voire pasde points de repère pour vérifier sileur conduite est bonne ou non,ou pour savoir laquelle adopter. »Jan Eastgate



Quel  est  l’état  de  la  religion  à  l'heure  actuelle  ?  Dans  une  ville  américaine,  des
personnes  âgées  se  sont  entendues  dire qu'elles  ne  pouvaient  pas  chanter  de
Gospels, ni prier pendant les repas dans leur  centre  communautaire,  parce  qu’il  s'agissait  d'un bâtiment  public.  C'est  seulement  après  une  longue action en justice que leurs droits ont été reconnus. 

Une  enfant  s'est  entendue  dire  qu'elle  ne  pouvait pas  donner  de  crayons  à  ses  camarades  de  classe, parce qu'il  y  avait  le  mot « Jésus » imprimé dessus.
En pleurs, elle a demandé à sa mère « Pourquoi est-ce que l’école hait Jésus ? »
Pour  M.  Kelly   Shackelford,  conseiller  en  chef de  l’institut  légal  pour  la
Liberté, « Ces jeunes enfants reçoivent  un  message.  Leur religion  est  traitée  comme
quelque  chose  d’obscène.  On enseigne  à  ces  enfants  dès  le plus   jeune   âge   des   idées comme  “Gardez  votre  religion pour vous”, “c’est sale”, “c’est  mauvais.”  »  témoigna-t-il  lors  d’une  audience devant le Congrès américain en 2004. 1

En mars 2004, le Parlement français a voté une loi interdisant  aux  enfants  de  porter  des  symboles  religieux dans les écoles publiques, y compris les voiles qui sont  portés  par  de  nombreuses  filles  musulmanes,  les croix de trop grande taille et les kippas pour les juifs. 2

Les attaques contre la religion vont bon train, mais cela n’a rien de nouveau ; elles sont aussi anciennes que la religion elle-même. 

Ce qui est nouveau en revanche, c’est la forme que prennent  ces  attaques. Aujourd’hui,  la  presse  ne  cesse de  se  faire  l’écho  des  affaires  d’abus  sexuels  qui  touchent le clergé. Les poursuites en justice se multiplient et coûtent de plus en plus cher aux Églises concernées.

Il  s’agit  là  d’une  attaque  particulièrement  vicieuse contre  l’ensemble  des  religions.  À  partir  de  quelques cas  condamnables,  l’opprobre  est  jeté  sur  l’ensemble des personnes investies dans le fonctionnement de leur Église.  
Ces  attaques  sapent  les  institutions  religieuses sur  les  plans  financiers  et  spirituels,  allant  jusqu’à remettre en cause leur survie même. 

C’est la spiritualité elle-même que l’on tente de discréditer.

Même  si  ce  genre  d’attaque  est  nouveau,  son  origine remonte pourtant à la fin du XIX e  siècle. C’est à ce moment là que les psychiatres ont cherché à remplacer la  religion  par  leur  «  science  exempte  d’âme  ».  

En 1940, la psychatrie a ouvertement déclaré ses intentions lorsque   le   psychiatre  britannique, John   Rawling Rees, co-fondateur de la   Fédération  Mondiale de la Santé    Mentale (WFMH), s’est adressé au Conseil  National  de  l’hygiène  mentale  en  disant :
« Depuis  la  dernière  guerre mondiale, nous avons fait de gros efforts pour infiltrer les diverses  organisations  sociales  à  travers  le  pays...
nous  avons  mené  une  attaque  utile  contre  un  certain nombre  de  professions.  Les deux  plus  aisées  sont  naturellement  l’enseignement  et l’Église... » 3

G.  Brock  Chisholm, psychiatre   canadien   et également cofondateur de la Fédération mondiale de la santé  mentale,  est  allé  encore  plus  loin  en  s’attaquant ouvertement aux valeurs religieuses.
En 1945, il appela les psychiatres à libérer « la race ... de ces boulets que sont le bien et le mal ». 4 En  déformant de façon vicieuse les principes anciens de la religion, les psychiatres  ont  médicalisé  la  conduite  crimininelle  et ont  redéfini  le  péché  et  le  mal  comme  « des  maladies mentales ».
Dans  son  livre  La  mort  de  Satan,  l’auteur  Andrew Delbanco fait référence à la disparition du « langage du mal » et au processus consistant à « ne plus donner de nom  au  mal  ».  Jusqu’à  l’arrivée  de  la  psychiatrie,  les sociétés  avaient  fonctionné  avec  une  idée  claire  de  ce qui  était  « moralement  mal  ».  Aujourd’hui,  pourtant, nous entendons des euphémismes tels que « problème
de comportement » ou « désordre de la personnalité ».
Delbanco  décrit  cela  comme  des  notions  « …  dans  les quelles  le  concept  de  la  responsabilité  a  disparu  et  où  l’être humain  est  perçu  comme  un  composant  ayant  une  fonction déterminée. S’il ne fonctionne pas correctement, il faudra le réparer ou le jeter ; mais il n’y a pas là de véritable notion de reproche… Nous pensons en termes d’ajustement d’une pièce défectueuse, ou, si ce n’est pas possible, nous envisageons de la jeter. » 5
Les intentions subversives des psychiatres concernant  la  religion  font  que  les  concepts  de  bonne  ou  de mauvaise conduite, de bien ou de mal, et de responsabilité  personnelle  ont  tellement  été  attaqués  au  cours de  ces  dernières  décennies  que  les  gens  n’ont  aujourd’hui que peu, voire pas de points de repère pour vérifier si leur conduite est bonne ou non, ou pour savoir laquelle  adopter.  Des  mots  tels  qu’éthique,  morale, péché et mal ont pratiquement disparu de notre vocabulaire courant.
Delbanco  déclare  également :  « La panoplie du mal n’a jamais été aussi riche. Et néanmoins, nos réponses n’ont jamais été aussi faibles…  Nous ne sommes  plus capables d’identifier facilement  le  coupable…  Les personnes malveillantes sont plus difficiles à identifier…  Le travail du diable est  partout, mais personne ne sait où le trouver…Le mal a tendance à se dissimuler dans le tumulte de la vie moderne… Nous ressentons des choses que nous ne sommes plus capables de décrire à l’aide du vocabulaire  de notre culture».

Les conséquences ont été désastreuses, tant pour la société que pour la religion. Ce n’est pas que le mal ait disparu  –  les  preuves  de  comportements  destructifs abondent dans notre société – et il est toujours aussi difficile  d’y  faire  face  que  par  le  passé.  

Pourtant,  tout  le monde souhaite vivre dans une société dans laquelle on puisse définir et vaincre le mal. 

Mais est-ce vraiment le cas ? 

Depuis plus d’un siècle, l’humanité a involontairement  servi  de  cobaye  à  la  psychiatrie  et  à  une  expérience délibérée « d’ingénierie sociale » sortie tout droit de  l’enfer.  Cette  expérience  a  consisté  notamment  à mener des attaques contre les remparts moraux et religieux  existant  dans  la  société.  Cela  ne  pouvait  avoir lieu qu’à la condition que l’homme ne soit plus capable de  concevoir,  d’exprimer  et  de  considérer  le  mal  de façon claire. Et cela constitue le cœur de la désintégration actuelle de notre société. C’est l’essence même du mal, masquée sous des apparences extérieures sociale ment acceptables.

Il n’y a pas si longtemps encore, c’était la religion qui  fournissait  à  l’homme  les  repères  spirituels  et moraux nécessaires pour créer et conserver des civilisations dont il pouvait être fier. La religion apporte l’inspiration nécessaire et donne un sens et un but à la vie.

Dans cette crise sociale, il incombe aux chefs de file de chaque  religion  d’entreprendre  les  actions  nécessaires.

Les  religieux  eux-mêmes  doivent  secouer  le  joug  du matérialisme sans âme qu’ont engendré la psychologie et  la  psychiatrie  et  remettre  la  religion  entre  les  mains des  religieux.  Les  responsables  religieux  doivent  assumer cette responsabilité, non seulement pour la survie
de la religion, mais aussi pour la survie de l’humanité.

Cordialement,
Jan Eastgate
Présidente de la Commission 
des Citoyens pour les Droits 
de l’Homme internationale

Contactez-nous à ccdh.auvergne@gmail.com



jeudi 21 mars 2013

Artistes : ciblés par la psychiatrie




Toute grande civilisation a ses esprits créatifs, ses véritables artistes. De la Grèce antique à Rome, en passant par la Renaissance jusqu’au monde d’aujourd’hui, l’humanité a célébré les hommes et les femmes dont les capacités artistiques étaient exceptionnelles. Henry James, l’écrivain américain déclarait : «C’est l’art qui façonne la vie...»

Aujourd’hui, ses mots sont plus vrais que jamais. Les artistes sont ceux qui rêvent notre futur et créent les réalités  de demain. S’il est vrai aussi que des ingénieurs et des visionnaires font de même dans d’autres domaines, le futur qu’ils créent tourne dans une large mesure autour de notre bien-être matériel. C’est l’artiste qui élève l’esprit, nous fait rire et pleurer et peut même donner forme à l’avenir spirituel de notre culture. Ce sont les artistes qui créent la vie.

Voilà pourquoi les artistes sont des joyaux de l’humanité, estimés dans le monde  entier. 

Malheureusement, ce sont des joyaux que nous avons souvent perdus trop tôt, des pertes qui nous ont appauvris. Au cours des dernières décennies nous avons tous pleuré la mort prématurée de grands artistes qui avaient enrichi notre vie. Partis trop tôt, on peut considérer que leur œuvre a été néanmoins accomplie.

Ce sont des écrivains, des étoiles du cinéma, du théâtre et de la musique, tels qu’Ernest Hemingway, le grand écrivain français Antonin Artaud, la chanteuse de jazz Billie Holiday, Judy Garland, Marilyn Monroe, Vivien Leigh, Kurt Cobain, Michael Hutchence, Phil Hartman et beaucoup d’autres encore.

Cette liste non exhaustive pourrait donner l’impression que la vie des artistes est inévitablement tumultueuse, que les pressions du succès sont sources d’exigences trop lourdes à porter. Il serait aussi facile de croire que pour être un artiste à succès vous devez être névrosé, ou pire. Rien de tout cela n’est vrai.

Dans chacun des cas mentionnés ci-dessus, des facteurs cachés ont travaillé pour s’assurer de leur issue tragique. La vérité est que chacun d’eux, et nombre des grands artistes qui nous ont quittés ont reçu des offres d’«aide». Au lieu d’être aidés, ils ont été trahis et conduits sur la voie de la destruction.

Cette trahison est le fait direct et indirect de psychiatres et de psychologues qui prétendaient les aider mais dont l’influence destructrice a eu des conséquences terribles. Ils ont sapé le fondement même de leur énergie et de leur certitude et les ont finalement entraînés vers la mort. Aujourd’hui, il est encore plus urgent que ce message soit entendu et compris, car les attaques contre les artistes de tout genre n’ont fait que croître en volume et en efficacité. Les armes consistent maintenant en un éventail de drogues mortelles que l’on fait passer pour des cures thérapeutiques, tout comme ce fut le cas autrefois avec la lobotomie. À Hollywood, la Mecque de l’industrie du divertissement, les psychotropes créent la dépendance et altèrent le fonctionnement mental de nombreux artistes.

Au regard de la dévastation créée parmi les artistes, nous ne devons pas oublier que
les artistes créent le futur de notre culture.

Est-ce là le futur que nous souhaitons? Un futur où nous suivrons ces leaders d’opinion dans «le meilleur des mondes» thérapeutiques, où nous trouverons des créateurs brisés, des familles ruinées, des vies gâchées et l’autodestruction? 

Si cela vous semble alarmiste, alors regardez ces chiffres, ils montrent ce que le futur nous réserve, à moins que des changements draconiens ne soient entrepris immédiatement. À l’heure actuelle, on prescrit à 17 millions d’enfants dans le monde des drogues psychiatriques qui altèrent la pensée. 

Ces médicaments comprennent des antidépresseurs que les agences gouvernementales de réglementation des États-Unis et du Royaume-Uni ont signalés comme pouvant être la cause de suicides et de comportements violents. 

L’apparition de plus en plus fréquente de faits divers tragiques mettant en cause des adolescents(tirs d’armes à feux, crimes violents...) est à mettre sur le compte de l’augmentation du nombre de prescriptions de ces drogues. Des millions de stimulants sont également prescrits, lesquels sont en fait plus puissants que la cocaïne. Parmi ces jeunes, combien de grands artistes potentiels n’accompliront jamais leur destin? En quoi notre culture va t-elle souffrir de leur absence? 

Nous avons pleuré les grands artistes que nous avons perdus trop vite. Ne pleurons plus pour d’autres. La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme internationale élabore et transmet, parfois sur le champ, des informations et des études qui peuvent aider les auteurs et les scénaristes ayant besoin de documentation et de faits sur la psychiatrie. 

C’est le cas par exemple du livre Shadowland, qui relate l’histoire de l’actrice Frances Farmer. Il s’agit d’un témoignage solide ayant donné lieu à un reportage d’investigation d’une heure à la télévision australienne. 

Ce programme a été récompensé par divers prix de télévision et repris dans des documentaires diffusés sur Channel 4 au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et dans d’autres pays. 

En fait, le quartier général de CCDH international se trouve au cœur d’Hollywood, au Sunset Boulevard; il abrite aussi une exposition permanente sur les différents aspects de la psychiatrie: son histoire sombre et son rôle dans l’Holocauste, ses programmes de nettoyage ethnique et d’apartheid aux effets souvent fatals et destructeurs, ses traitements tels que la prescription de psychotropes créant une dépendance, les électrochocs, la psychochirurgie et les «stimulants» utilisés pour droguer les enfants. 


Musée de la Mort - (cliquez sur l'image)


Lien vers le musée interactif
http://fr.cchr.org/museum.html%23/museum/intro#/museum/intro

CCDH diffuse cette information de façon à ce que chacun puisse voir par soi-même comment les artiste sont été trompés et trahis. Nous vous encourageons à prendre des mesures, compte tenu de ces informations, pour protéger ceux qui ont besoin d’aide et pour vous assurer que notre propre futur ne sera pas trahi.

Jan Eastgate
Présidente de la Commission des citoyens pour les droits de l’homme internationale

Bruce Wiseman
Président CCHR des États-Unis
Anne Archer
 Actrice
David Campbell,
Compositeur, ingénieur du son
Raven Kane Campbell
Chanteur, Compositeur de Jazz, dramaturge
Nancy Cartwright
 Actrice et auteur
Chick Corea,
Compositeur de Jazz, dramaturge
Isaac Hayes
Compositeur, musicien, acteur
Geoffrey Lewis
 Acteur
 Juliette Lewis
 Actrice
 John Novello
Compositeur, musicien
David Pomeranz
Chanteur, compositeur de chansons
Harriet Schock,
Compositeur de chansons, artiste en enregistrement

Contactez-nous à ccdh.auvergne@gmail.com

Attention aux psychostimulants



Les psycho-stimulants faits et effets 

La commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme International a publié une série de livrets sur les effets des psychotropes divers et variés.


On a de plus en plus tendance à prendre des cachets pour tous les maux de la vie !


Les étudiants sous stress cherchent quelque chose qui va les déstresser et les aider à passer leurs examens ! S'ils sont exténués ils vont demander à leur médecin quelque chose qui va leur donner la pêche.


En dehors de l'effet recherché, ces produits ont aussi d'autres effets un peu moins, voire largement moins désirables.


On peut consulter cette brochure sur 


http://www.ccdh.fr/Brochures-d-information-disponibles-aupres-de-la-CCDH_a34.html



samedi 9 mars 2013

Nos enfants en danger


Manifestation à Clermont ce week-end qui a réuni le temps d'une action de distribution, quelques parents et grands-parents bien informés sur les dangers du dépistage des "troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité et souhaitant sensibiliser le public.


Nos enfants sont soumis à un dépistage pour les troubles de l'attention, déjà très controversé de par sa nature subjective. Ce qui est encore plus inquiétant c'est que le diagnostic puisse être suivi de prescription de psycho stimulants, tels la ritaline, qui sont reconnus comme des substances hautement toxiques (de nombreuses agences de santé européennes et outre atlantique ont émis des mises en garde qui doivent figurer sur les boites. La substance composant ces "médicament" est aussi toxique et addictive que la cocaïne et fait d'ailleurs l'objet de trafic illégal parmi les enfants des collèges et autres et pas seulement aux Etats-Unis.
Bien sûr on nous dit que ces diagnostics et ces prescriptions sont donnés uniquement quand c'est vraiment nécessaire, que cela ne concerne que peu de patients. Mais doit-t-on croire cela sachant qu'aux Etats-Unis cela à aussi démarré de la même manière pour atteindre des proportions hallucinantes ? Nous avons juste 20 ans de retard et avons tendance à reproduire les mêmes erreurs sans évaluer la valeur de ce qu'on nous propose comme modèle de société pour demain.
Aux Etats-Unis ils s'en mordent les doigts à l'heure actuelle. Ils ont commencé aussi avec des cas peu nombreux et puis de fil en aiguille, les critères de diagnostic étant tellement subjectifs, cela s'est étendu à des enfants qui n'avaient en fait pas besoin de traitements avec des législations de plus en plus dures dans certains états au point d'enlever des enfants à leurs parents qui refusaient de donner le traitement prescrit à leur enfant par le psychologue scolaire ! C'en est même venu au point ou une mère se voit assiégée par des forces de police. Elle a finalement eu gain de cause et à remporté une grande victoire aussi pour les autres parents soumis à ce chantage honteux.

Voir ici une vidéo de son témoignage 


Est-ce vraiment cela que nous voulons en France ?
C'est en tout cas ce que nous obtiendrons si nous ne demandons pas plus de preuves scientifiques de ce que les psychiatres et leurs alliées de l'industrie pharmaceutique avancent avec leur diagnostic bidon de déséquilibre chimique. Car des preuves ils n'en ont pas d'après les nombreux scientifiques américains qui ont commencé à s'attaquer à  ce problème. 

Un pedo-psychiatre français défendait sa profession avec l'argument fallacieux dont nous avons parlé plus haut déjà utilisé aux Etats-Unis dans le temps.
 "Mais la situation en France est radicalement différente, puisque seuls 5 % des enfants atteints du trouble sont traités par des médicaments. »

l'argument est d'autant plus spécieux ou inadapté que les effets secondaires de ces traitements imposés à des patients ou leurs parents très mal informés, sont très dangereux car ils peuvent conduire au suicide ou à des arrêts cardiaques. La Commission des Citoyens pour les droits de l'homme International (CCHR) a d'ailleurs publié des brochures d'information à ce sujet.

Au début, aux Ettas-Unis seul un petit nombre d'enfants ont été concernés et puis de plus en plus d'enfants ont été concernés et ont dû prendre la petite pilule souvent contre le consentement des parents dont certains se sont vus retirer la garde de leur enfants sous une espèce de dictature médicale. On en arrive à une état thérapeutique comme le dénonce dans son livre le Pr émérite de psychiatrie Tomas Szatsz co-fondateur de la Commission des Citoyens pour les droits de l'homme. 
D'autres professionnels français mettent également en garde contre l’immixtion trop important de la psychiatrie dans notre vie de tous les jours, qui devient un outil de contrôle social.

Il faut à cet égard lire le livre très clairvoyant d'Olivier Labouret, "Le nouvel ordre psychiatrique". http://www.editions-eres.com/parutions/sante-mentale/actualite-de-la-psychiatrie/p2973-nouvel-ordre-psychiatrique-le-.htm
C'est contre cette déshumanisation de l'individu que combat la CCDH.

Depuis 2009, des laboratoires pharmaceutiques, en plus des avertissements devant figurer sur les boites de produits, ont grâce à ce combat, été condamnés à verser de fortes amendes aux victimes qui pu finalement faire prévaloir leurs droits devant le congrès américain et devant les tribunaux