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samedi 9 mars 2013

Nos enfants en danger


Manifestation à Clermont ce week-end qui a réuni le temps d'une action de distribution, quelques parents et grands-parents bien informés sur les dangers du dépistage des "troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité et souhaitant sensibiliser le public.


Nos enfants sont soumis à un dépistage pour les troubles de l'attention, déjà très controversé de par sa nature subjective. Ce qui est encore plus inquiétant c'est que le diagnostic puisse être suivi de prescription de psycho stimulants, tels la ritaline, qui sont reconnus comme des substances hautement toxiques (de nombreuses agences de santé européennes et outre atlantique ont émis des mises en garde qui doivent figurer sur les boites. La substance composant ces "médicament" est aussi toxique et addictive que la cocaïne et fait d'ailleurs l'objet de trafic illégal parmi les enfants des collèges et autres et pas seulement aux Etats-Unis.
Bien sûr on nous dit que ces diagnostics et ces prescriptions sont donnés uniquement quand c'est vraiment nécessaire, que cela ne concerne que peu de patients. Mais doit-t-on croire cela sachant qu'aux Etats-Unis cela à aussi démarré de la même manière pour atteindre des proportions hallucinantes ? Nous avons juste 20 ans de retard et avons tendance à reproduire les mêmes erreurs sans évaluer la valeur de ce qu'on nous propose comme modèle de société pour demain.
Aux Etats-Unis ils s'en mordent les doigts à l'heure actuelle. Ils ont commencé aussi avec des cas peu nombreux et puis de fil en aiguille, les critères de diagnostic étant tellement subjectifs, cela s'est étendu à des enfants qui n'avaient en fait pas besoin de traitements avec des législations de plus en plus dures dans certains états au point d'enlever des enfants à leurs parents qui refusaient de donner le traitement prescrit à leur enfant par le psychologue scolaire ! C'en est même venu au point ou une mère se voit assiégée par des forces de police. Elle a finalement eu gain de cause et à remporté une grande victoire aussi pour les autres parents soumis à ce chantage honteux.

Voir ici une vidéo de son témoignage 


Est-ce vraiment cela que nous voulons en France ?
C'est en tout cas ce que nous obtiendrons si nous ne demandons pas plus de preuves scientifiques de ce que les psychiatres et leurs alliées de l'industrie pharmaceutique avancent avec leur diagnostic bidon de déséquilibre chimique. Car des preuves ils n'en ont pas d'après les nombreux scientifiques américains qui ont commencé à s'attaquer à  ce problème. 

Un pedo-psychiatre français défendait sa profession avec l'argument fallacieux dont nous avons parlé plus haut déjà utilisé aux Etats-Unis dans le temps.
 "Mais la situation en France est radicalement différente, puisque seuls 5 % des enfants atteints du trouble sont traités par des médicaments. »

l'argument est d'autant plus spécieux ou inadapté que les effets secondaires de ces traitements imposés à des patients ou leurs parents très mal informés, sont très dangereux car ils peuvent conduire au suicide ou à des arrêts cardiaques. La Commission des Citoyens pour les droits de l'homme International (CCHR) a d'ailleurs publié des brochures d'information à ce sujet.

Au début, aux Ettas-Unis seul un petit nombre d'enfants ont été concernés et puis de plus en plus d'enfants ont été concernés et ont dû prendre la petite pilule souvent contre le consentement des parents dont certains se sont vus retirer la garde de leur enfants sous une espèce de dictature médicale. On en arrive à une état thérapeutique comme le dénonce dans son livre le Pr émérite de psychiatrie Tomas Szatsz co-fondateur de la Commission des Citoyens pour les droits de l'homme. 
D'autres professionnels français mettent également en garde contre l’immixtion trop important de la psychiatrie dans notre vie de tous les jours, qui devient un outil de contrôle social.

Il faut à cet égard lire le livre très clairvoyant d'Olivier Labouret, "Le nouvel ordre psychiatrique". http://www.editions-eres.com/parutions/sante-mentale/actualite-de-la-psychiatrie/p2973-nouvel-ordre-psychiatrique-le-.htm
C'est contre cette déshumanisation de l'individu que combat la CCDH.

Depuis 2009, des laboratoires pharmaceutiques, en plus des avertissements devant figurer sur les boites de produits, ont grâce à ce combat, été condamnés à verser de fortes amendes aux victimes qui pu finalement faire prévaloir leurs droits devant le congrès américain et devant les tribunaux


Ces actions d'information doivent se poursuivre. Si vous voulez témoigner vous pouvez vous adresser à la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme.


http://www.ccdh.fr/forms/Appel-a-temoins_f7.html


Pour nous contacter pour aider ou témoigner : 

CCDH Auvergne : ccdh.auvergne@gmail.com
CCDH France : http://www.ccdh.fr/forms/Contactez-CCDH_f1.html

Contact presse  : ccdh

auvergne@free.fr