FACEBOOK

dimanche 19 mai 2013

Antidépresseur Valdoxan - risque pour le foie


Controverse sur les antidépresseurs ?

On lit dans un article récent que l'antidépresseur Valdoxan présenterait un risque pour le foie. On voit apparaître ponctuellement des études et des mises en gardes concernant les psychotropes. Il n'y a pas si longtemps on parlait des benzodiazépines.

Voici quelques uns de ces articles mettant en avant des effets indésirables de ces produits :

- Augmentation du risque suicidaire
  • "Aux Etats-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne où les autorités sanitaires ont formulé de nouvelles recommandations aux médecins, visant à éviter l’usage abusif des antidépresseurs et les prescriptions trop systématiques, leur utilisation est remise en cause pour les enfants et les adolescents, après que plusieurs études ont prouvé qu’elles entraînent chez eux une augmentation du risque suicidaire. 
  • Mêmes inquiétudes en France où le ministère de la santé interdit  la prescription d’antidépresseurs chez les moins de 18 ans.
  • Des chercheurs américains ont relevé l’an dernier, que les femmes souffrant de dépression et utilisant des antidépresseurs durant deux ans, ont 39% plus de risque d’avoir une hypertension, des maladies du cœur ou un diabète. "
  • http://www.trtfrancais.com/fr/informations/detail/vieenvironnement/85/les-antidepresseurs-sont-ils-dangereux-/5056
- Un autre article plus récent indique de tel antidépresseur présenterait des dangers pour le foie :
- Risques cardiaques :
  • "Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.
  • L'étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.
  • Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d'un traitement."
  • http://fr.canoe.ca/sante/archives/2012/10/20121019-145557.html
Emprunteriez-vous un pont qui a une chance sur 10 000 de s'écrouler ? Peut-être si vous aviez tous les diables de l'enfer à vos trousses le feriez-vous. 

Tout dépend du facteur bénéfice/risque. Et c'est là que la controverse s'anime.

Des études montrent que les bénéfices des antidépresseurs sont sujets à caution.

Un très bon article paru en 2012 et très documenté, commentait la remise en question des antidépresseurs.

Une autre article intéressant quoique plus ancien montrant que la controverse ne date pas d'hier.

Que penser alors ?

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme Internationale (CCHR) à publié un livret d'information a cet effet qui est une compilation documentée des faits et des effets concernant les antidépresseurs. Comme le rappelle le livret dès la première page il s'agit d'information et non pas d'avis ou de recommandation médicale.



Haro sur le baudet - le DSM-5 à l'index !



Les temps sont agités pour la psychiatrie. 

Voir l'article du monde reproduit sur le site du CRPA, une association d'usagers qui s'insurge contre les mauvais traitements qui leur sont infligé suite au problème lié au diagnostiques en psychiatrie.

http://psychiatrie.crpa.asso.fr/2013-05-13-art-Un-article-du-Monde-a-propos-de-la-publication-du-DSM-5-Psychiatrie-DSM-5-le-manuel-qui-rend-fou

Un mouvement populaire commence à s'insurger contre la trop grande liberté que prennent les groupes d'intérêt psychiatriques avec l'étiquetage de nos comportements et la propension à cataloguer chaque comportement comme une soi disant maladie mentale.

Olivier Labouret dénonçait il y a peu l'utilisation de la psychiatrie comme outil de contrôle dans son ouvrage "Le nouvel ordre psychiatrique". 

Tomas Szasz également dans l'ouvrage traduit récemment en français "Pharmacratie"

La profession psychiatrique essaie de transformer ce qui n'est qu'un catalogue hétéroclite de comportements et de symptômes en de véritables maladies, dans le seul but de vendre des "médicaments" pour les traiter. Ceci au seul profit des labos qui fabriquent en fait uniquement des palliatifs ou des substances qui masquent les symptômes mais ne guérissent rien puisque paradoxalement la profession psychiatrique reconnait qu'on ne peut pas guérir la maladie mentale.

Les psychothérapeutes s'insurgent, les patients s'insurgent, il serait temps de les écouter.

En fait on verra d'ailleurs qu'il ne s'agit pas vraiment de maladies comme le reconnaissent également les psychiatres ouvertement.


Le Directeur de l'Institut National de la Santé Mentale aux Etats-Unis avoue que ces diagnostiques n'ont aucun fondement "médical", c'est à dire qu'il n'y a pas à l'heure actuelle de tests biologiques fiables pour pouvoir parler de maladies. Il déclare sur son blog en parlant du DSM . (Voir site de la NIMH)

" C'est au mieux un dictionnaire, qui crée un ensemble d'étiquettes et qui les définit et sa faiblesse est son manque de validité". Il déclare également que la NIMH va orienter ses recherches à l'écart du DSM car "les diagnostics du DSM sont basés sur un consensus par rapport à un ensemble de symptômes cliniques et pas sur des mesures de laboratoire objectives"

La CCDH est heureuse de cet aveux qui ne fait que confirmer ce que l'association dénonçait depuis des dizaines d'années dans ses publications. 

Voir le documentaire video récent sur le DSM : "DSM , le château de carte de la psychiatrie"

ou bien consulter la brochure :
http://fr.cchr.org/cchr-reports/inventing-disorders/introduction.html

Ce qui ne veut pas dire que la NIMH a vu la lumière et il faudra rester très vigilant sur les prochaines trouvailles, notamment les fameuses recherches sur le cerveau et l'implantation de puces électroniques qui risque d'être le prochain "remède miracle".

Il faut être ferme et réclamer des preuves scientifiques et objectives car avec les milliards de dollars de financement en jeu la profession et les labos ont de quoi être inquiets pour leur avenir et les risques se voir présenter des théories fantaisistes enrobées de salmigondis pseudo scientifique sont grands. C'est ce qui s'est produit dans les 100 dernières années. On peut trouver des informations concernant le marketing des maladies mentales dans les documentaires suivants : 

"le marketing de la folie"
http://www.youtube.com/watch?v=jaWUZmbjfsQ&feature=share&list=PLJgSFasndJ-Nfwjej_iy3WDmmZcEMNd2P 
et "profits macabres"
http://www.youtube.com/watch?v=pnM-VGnGJMg&feature=share&list=PLJgSFasndJ-NQYymwMamldBcaaGOzA2If

Depuis les années  la psychiatrie tente d'entrer dans le domaine médical avec des expériences sur cobayes humains toutes aussi ratées et aussi horribles les unes que les autres : on parle là de la lobotomie préfrontale, des chocs à l'insuline, des chocs au Métrazol, des cures de sommeil profond, des électrochocs (electroconvulsivo thérapie), et dernièrement de la camisole chimique et de la "pilule du bonheur" comme si l'on pouvait réduire les émotions à des simples échanges chimiques dans le cerveau. 

Voir le film "Psychiatrie, la vérité sur ses abus, chapitres 1, 2

http://www.youtube.com/watch?v=khNqKAIdELM&feature=share&list=PLJgSFasndJ-Mz_DmcxkDgSHC-kzZBXum9

Le sujet des "soins" sans consentement est également un sujet de discorde tant le prétendu soin s'apparente plutôt à une punition et viole le consentement éclairé du patient et l'éthique médicale. Si l'on présentait les effets à long terme des substances que l'on oblige certains patients à ingérer ou à subir sous forme d'injections forcées, la grande majorité refuseraient le traitement.

Le difficulté n'est pas tant de prouver que la psychiatrie est inefficace voire dangereuse pour la santé, mais de faire réaliser l'ampleur des dégâts à une population qui a subit une désinformation et une propagande sur ce sujet, d'une ampleur à la mesure des profits générés par l'industrie pharmaceutique qui la soutient.

L'excellent documentaire d'ARTE "Maladies à vendre" en témoigne et a contribué également à amener le problème à la conscience du public.

http://www.youtube.com/watch?v=eJvL_IEVQVA&feature=share&list=PLJgSFasndJ-OPkFeZwdz0rzOlvHGd5dv6

Continuons à nous battre pour la vérité et pour un véritable respect des droits de l'homme dans le domaine de la santé mentale.

jeudi 9 mai 2013

L'enfance est-elle une maladie mentale ?




A ce sujet une video sympa tournée avec des enfants qui  martèlent leur message : "l'enfance n'est pas une maladie mentale", en référence aux diagnostiques souvent très subjectifs du "trouble de l'hyperactivité" qui a connu une expansion foudroyante aux Etats-Unis du fait de la subjectivité même des tests de dépistage et qui a conduit de plus en plus d'enfants diagnostiqués à tort à prendre des médicaments dangereux pour leur santé. 



Ce sujet fait l'objet d'un film documentaire : "Erreur fatale" . 
Ce film relate le parcours d'une mère dont l'enfant est mort du fait de mauvais diagnostique et à cause du traitement psychiatrique. De nombreux parents de sont unis aux Etats-Unis pour porter plainte contre 3 grands Labos pharmaceutiques et ont obtenu des dommages et intérêts importants.

Pour tout témoignage http://www.ccdh.fr/forms/Contactez-CCDH_f1.html


samedi 4 mai 2013

La psychiatrie a perdu son âme ?


Nouvelle manifestation d'information et de revendication de la CCDH Auvergne ce mois-ci à Clermont-Ferrand.


"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" déclarait Rabelais. Il semblerait que la psychiatrie a jeté l'âme aux orties depuis pas mal de temps et sa conscience avec.

La psychiatrie comportementale ( médecine de l'âme d'après son étymologie a totalement renié ses origines en prenant, sous couvert d'aide, la direction de la médicalisation des émotions avec le cortège d'horreurs et d'abus contre les droits de l'homme que cela entraîne (internements abusifs, obligation d'ingérer des substances toxiques, traitements brutaux, tout ceci largement documenté). 

La CCDH, créée en 1974 en France et 1969 aux Etats-Unis (CCHR, Citizen Commission on Human Rights) n'est pas la seule association à s'insurger contre les traitements dégradants infligés voire imposés aux patients, souvent à leur insu, souvent sans leur consentement éclairé.  Son but est de faire restaurer l'application des droits humains en santé mentale, entre autre, par des actions d'information et en amenant le public à ouvrir les yeux sur le modèle de société à la Big Brother qu'on essaie de leur imposer par le biais de théories non fondées.

Le plan global des fondateurs de l'association mondiale de la santé mentale initié en 1940 par le psychiatre militaire J.R. Rees, puis instauré en 1945 par le major également psychiatre, J Brock Chishlom est en marche. "la réinterprétation et finalement l'éradication du concept de bien et de mal "comme l'un des buts principaux de la psychiatrie. Il a affirmé que pour empêcher une future guerre, les psychiatres doivent éliminer "la moralité". 

Voir Video chapitre 13 : l'influence cachée de la psychiatrie
 http://www.youtube.com/watch?v=wfHfAq8aMdQ&feature=share&list=PLJgSFasndJ-Mz_DmcxkDgSHC-kzZBXum9

Si l'on enlève ce qui différencie l'homme de l'animal, ce qui l'élève, c'est à dire sa conscience et sa moralité, son sens de l'éthique, son sens de l'esthétique et qu'on attribue ses actions et ses émotions à des simples relations chimiques dans le cerveau, cela a contribue un petit peu plus à le ravaler au rang d'animal et l'on finit par obtenir un animal, c'est à dire quelqu'un qui réagit par excitation réflexe. On peut abaisser l'homme au rang d'animal à coup de brimades et de punition et de drogues ! C'est en étudiant des personnes très perturbées ou dérangées ou en expérimentant sur des animaux que ces psychiatres comportementalistes des origines comme Pavlov ou Skinner en sont venus à généraliser leur comportement à toute la population humaine. L'Homme ne devient rien de plus qu'un morceau de viande sans conscience, qui peut être utilisé indifféremment comme un objet, de la chair à canon ou une marionnette par ceux qui tirent les ficelles.

Cela manque pour le moins de rigueur scientifique.

Voir la page, "l'homme un animal" : http://psychiatriedemasquee.blogspot.fr/p/lhomme-un-animal.html

Le CRPA (Cercle de Reflexion et de Proposition d'Action sur la psychiatrie), récemment créé est particulièrement remonté sur les problèmes d'internement abusif et l'obligation de soin. http://crpa.asso.fr/

D'autres associations se mobilisent pour faire entendre la voix de la raison. Des supports d'information sont disponibles sur les site de la Commission des Citoyens pour les droits de l'Homme Internationale et France

http://fr.cchr.org/videos.html

http://www.ccdh.fr/Le-kit-pedagogique-i-Le-marketing-de-la-folie-i_a237.html

vendredi 3 mai 2013

Histoire de la Psychiatrie


Découvrez au fil de la chronologie, l'histoire de la psychiatrie à travers les chapitres vidéos du DVD Psychiatrie la vérité sur ses abus.

cliquez sur ce lien :

Pour visionner l'introduction :