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jeudi 25 avril 2013

Troubles mentaux - diagnostiques bidons ?


Trouble des mathématiques. Cela ressemble à une plaisanterie et pourtant ....


Le DSM, Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux, connu sous le nom de « la bible des psychiatres », répertorie toutes les maladies mentales. La première édition du DSM a été publiée en 1952 et comptait 60 troubles. La version actuelle du livre en contient plus de 400. Le DSM 5 devrait être publié très prochainement, avec un nombre encore plus important de maladies répertoriées. 
  
Pourquoi assistons-nous à une croissance toujours plus importante de maladies mentales ? Nous pouvons observer que ces « troubles » représentent en fait des comportements et émotions que pourraient vivre n'importe quelle personne. Aujourd'hui même la timidité, les difficultés en mathématiques, l'utilisation d'internet ou encore les caprices d'enfants peuvent être considérés comme des troubles mentaux, et sont répertoriés dans le DSM. 

Pour faire la lumière sur ce qui pourrait bien être la plus grande tromperie de l'histoire, voici un documentaire primé, réalisé avec l'aide de spécialistes du domaine de la médecine, de la psychiatrie, de la neurologie, des journalistes, etc.



Pour obtenir plus d'information sur les diagnostiques psychatrique lisez la brochure :


jeudi 18 avril 2013

Antidépresseurs - mises en garde



Ce livret publié par CCHR International (Citizen Commission on Human Rights) donne des informations importantes au sujet des antidépresseurs. Ces informations sont fournies en tant que service d'intérêt général.

Les médecins sont tenus lorsqu'ils prescrivent des traitements, d'informer le patient qui à le droit de pouvoir faire un choix libre et éclairé.

Voici ce que dit la Loi sur le consentement éclairé du patient :
(plus de détails sur le site de l'ordre des médecins) http://www.conseil-national.medecin.fr/article/article-36-consentement-du-malade-260#article

Article 36 (article R.4127-36 du code de la santé publique)
Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
Si le malade est hors d'état d'exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que ses proches aient été prévenus et informés, sauf urgence ou impossibilité.
Les obligations du médecin à l'égard du patient lorsque celui-ci est un mineur ou un majeur protégé sont définies à l'
 article 42 .

L’article L.1111-4 du code de la santé publique précise à cet égard 
« Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d'interrompre tout traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d'accepter les soins indispensables. Il peut faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».

On parle de consentement "libre" ce qu'on peut interpréter comme pas de pression envers la personne qui est déjà un état de faiblesse ou de détresse du fait du problème de santé ou psychologique qu'elle subit. 

On parle aussi de consentement "éclairé", ce qui implique que la personne doit pouvoir réellement comprendre en termes simples quels vont être les bénéfices du traitement comparés aux éventuels effets nocifs. Elle doit pouvoir poser toutes les questions et avoir accès aux documents nécessaires.

Ce livret permet d'avoir accès à de telles informations.

D'autres livrets sont disponibles sur :
Les psychostimulants
Les anxiolytiques
Les Psychotropes
Les stabilisateurs d'humeur
Les anti-psychotiques


INFORMATION  IMPORTANTE A L'INTENTION  DES  LECTEURS 
Ce rapport donne une vue d'ensemble des effets secondaires d'antidépresseurs courants. Il est important de connaître ces informations. 
Les tribunaux ont déterminé que si un médecin veut obtenir un consentement éclairé de la part des patients à qui 
il prescrit des psychotropes (substances qui agissent sur le psychisme), il doit« les informer [ ... ] des effets secondaires et des avantages possibles, de la manière de traiter ces effets secondaires, et des risques d'autres maladies[. ... ]» et il doit également les« informer des traitements alternatifs ».1  Pourtant, les psychiatres ignorent très souvent ces recommandations. 
Si vous prenez des psychotropes, n'arrêtez pas de les prendre après avoir lu ces informations. Vous pourriez souffrir de symptômes sérieux de sevrage. 
Avant d'arrêter la prise de psychotropes, vous devriez contacter un médecin spécialiste ou un généraliste compétent pour qu'il puisse vous aider et vous conseiller. C'est très important. 
Dans cette publication, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme (CCDH) ne fournit pas 
d'avis médical ni de recommandations, mais donne des informations pour que chacun puisse se faire sa propre opinion. 
Pour de plus amples renseignements sur les médicaments psychiatriques et leurs effets secondaires,  veuillez consulter le site français http://ansm.sante.fr/, le site canadien français www.sc.hc.gc.ca ou le site américain 
Guide de référence médical http://www.pdrhealth.com. 

1.     Faith J. Myers contre l'Institut psychiatrique d'Alaska, 
Cour suprême d'Alaska, No S-11021, Cour supérieure 
n' 3AN-03-00277 PR, Avis, n'6021, 30 juin 2006. 


ccdh.auvergne@gmail.com